Le
temps se languit
D’un
avenir plus heureux
Au
creux de l’hiver.
Sans
larmes aucunes
La
morosité s’installe
Et
compte les mois.
L’été
semble loin
De
nous enchanter déjà
De
ses doux rayons !
Le
18 janvier 2014
© Ghislaine Renard
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