Cœurs et corps se confondent
En un élan fervent
Et l’amour se distille
En tendresse profonde !
Les mots douceur
Ont émaillé le jour
Ponctués d’un baiser
Ou d’un geste effleuré.
Les amoureux au fil des ans
Ont accumulé l’affection
Qui ne se compte mais s’exprime
Ainsi de diverses façons !
Qui prétend donc qu’aimer
Ne peut durer toujours ?
Que le début d’un sentiment
Contient déjà sa perte ?
« Il n’y a pas d’amour heureux »
Vérité ponctuelle d’un quidam
N’est pas généralité !
Encore faut-il le cultiver…
Et s’il venait à s’étioler
Ne pas dans la désespérance
S’enfoncer…
Mais se reprendre à espérer,
Et conjuguer le verbe aimer !
© Ghislaine Renard
Merci à vous aussi. Je suis heureuse que mon poème vous ait plu ! Comment s'appelle votre association ?
RépondreSupprimerAmicalement,
Ghislaine RENARD