mercredi 14 mars 2012

Filip Jordens chante Brel

Fougue, enthousiasme, exubérance
Éclatent sur la scène !
La silhouette élancée,
Dégingandée même,
Maigre à la vue
Comme elle doit l’être
Au toucher,
S’extériorise,
Se ploie et se déplie !
Les mots du grand Jacques
Emplissent la gorge de Filip,
S’en échappent avec vigueur
Ou tendresse,
Au fil des chansons
Qui se succèdent allègrement !
Enchaînement parfait, rythmé
Dynamique, plein de punch.
Le talent est au rendez-vous !
Non, Brel n’est pas trahi…

Waux-Hall de Nivelles le 13 mars 2012-03-15
Filip Jordens est un chanteur belge polyglotte
© Ghislaine Renard

 

lundi 5 mars 2012

Présentation de Ghislaine par Gisèle Toussaint

Présentation de Ghislaine RENARD
Ce lundi 20 février 2012
Par Gisèle Toussaint
Aux Ateliers Littéraires du Roman Pays


 
            Au retour d’Afrique, Ghislaine Renard s’est installée à Nivelles en Brabant wallon en janvier 1977.
             Nivelles, c’est sa ville qu’elle apprécie particulièrement, elle y vit en famille qui compte énormément pour elle, y partage l’amitié et l’écriture, la peinture et la sculpture, Ghislaine est une artiste complète.
           
Son écriture en vers libre, est lumineuse,  compréhensible de tous et touche tout un chacun.

            Ghislaine Renard a déjà édité différents recueils aux Editions Pégase, aux Editions de laTour et aux Editions Cloé des Lys et ce régulièrement depuis 1988.
           
            Lecture de « Nivelles en musique » p. 7

            Ghislaine Renard désire faire partager ce qu’elle ressent et la démarche affective que l’on retrouve dans le titre du recueil « Soubresauts du cœur » suivi de « Sérénité » s’étale tout au long du recueil, car ce recueil explore des sentiments complexes, lorsque son cœur est partagé, lorsqu’elle doute d’elle-même.

            Heureusement, l’écriture est là, qui lui permet de s’évader, de faire le point, de se souvenir des moments importants de sa vie.

            Le recueil « Soubresauts du cœur » est heureusement suivi de « Sérénité. Nous la suivons lorsqu’elle regrette le temps qui passe :

            Lecture de « Anniversaire 2006 » p. 11

            Elle s’émeut à la nouvelle de la grossesse de sa belle-fille et ce sont alors des larmes de bonheur qu’elle verse à cette occasion.

            Lecture « Les larmes » p. 13

            Et pourtant, malgré l’affection des siens, Ghislaine souffre de solitude lorsqu’elle se souvient de sa maman disparue et des doutes l’assaillent alors qu’elle se trouve seule face à son clavier, lorsque l’inspiration la déserte, mais bientôt elle reprend confiance et savoure les plaisirs toujours renouvelés de sa vie conjugale.

            Lecture de « Nous les époux » p. 16, « Nous deux » p. 66 « L’idéal » p. 66

            Mais toujours « ce temps qui file et qui se lasse » la tracasse, une fêlure que nous sommes tous capable de comprendre.

            Lecture « Protection » p. 36

            Parfois, elle s’insurge contre la cruauté de certains

            Lecture « Rires » p. 33

et les horreurs de la guerre,

            Lecture « Paix et fraternité » p. 56

            Ghislaine est attirée par les voyages, qu’elle fait ou ne fait pas, et aime en garder le souvenir en écrivant :

            « Sahara et autres déserts » « A Giovanna » « Voyage » « Le Grand Canyon » 

            La nature l’éblouit et elle y trouve un réconfort certain, lorsque son cœur se rebelle contre les injustices de la vie.

            Lecture « Joyau de la nature »p. 12

            Ghislaine suit différents ateliers d’écriture et s’essaye  aux haïkus dont l’ écriture particulièrement difficile

            « Haïkus du cœur » p. 33
            « Trios de haïkus »  p. 51

            C’est avec cœur qu’elle témoigne qu’il est possible malgré tout d’être heureux

            « Le bonheur » p. 61

Je ne peux que vous inviter à faire plus ample connaissance avec l’écriture et avec Ghislaine Renard.